Baptiste Poirier À L’HONNEUR LEGENDES 4 Baptiste lors du Championnat d'Europe en Croatie. Ash Vindin, une des belles rencontres faites sur les championnats. Ne pas s’offenser des critiques, mais chercher à apprendre de chacune. Big shot : un bon moyen de sécuriser le master en enlevant le côté aléatoire du lancer de sac 5 6 Comment qualifieriez-vous votre métier ? B. P. : C’est un métier varié où l’on ne s’ennuie jamais ! Ce qui est passionnant, c’est de travailler au contact de la nature avec le vivant, mais aussi de réaliser des tâches multiples, de côtoyer des personnes et des environnements différents au fil des chantiers. Et puis il faut sans cesse remettre à jour ses connaissances sur les arbres, les techniques ou les matériels… Progresser tout au long de la vie professionnelle, c’est stimulant. Par quels moyens parvenez-vous à vous tenir à jour des nouvelles connaissances ? B. P. : Je suis adhérent de la SFA et je lis la Lettre de l’arboriculture, je participe chaque année à des formations courtes (Atelier de l’arbre, Ceiba…). Je me suis également investi en tant que bénévole dans les championnats régionaux et nationaux organisés par la SFA, car ils constituent un formidable espace de rencontres et d’échanges sur les nouvelles approches techniques, la sécurité, les matériels ou les connaissances scientifiques. Dans un deuxième temps, j’ai eu envie de participer en tant que concurrent, un autre moyen d’approfondir mes compétences. Crédit photo : Pierre CUNY Crédit photo : Pierre CUNY 4 5 7 12 Mag
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